Pour le troisième volet du « Cabaret de l’exil », Bartabas rend hommage aux femmes persanes.
Qu’elles soient afghanes ou iraniennes, elles sont aussi des artistes en exil. Résistantes et révoltées, elles revendiquent leur identité et convoquent la mémoire ancestrale ; celle de l’antique civilisation scythe fondée sur le matriarcat. Chez ce peuple nomade le cheval fut à l’origine de la remarquable égalité entre les genres ; chevaucher de longues distances et encourager sa monture au combat fut l’apanage des femmes autant que des hommes, il en était de même pour la pratique des arts.
Une invitation au voyage à découvrir fraternellement autour d’un verre, au Fort d’Aubervilliers dans un Théâtre Equestre Zingaro toujours réinventé.
Conçu par Patrick Bouchain, notre théâtre est un édifice de bois. L’une des premières envies sur la construction était de donner au spectateur l’impression d’entrer là et d’être d’ores et déjà dans le spectacle.
Conçu par Patrick Bouchain, notre théâtre est un édifice de bois. L’une des premières envies sur la construction était de donner au spectateur l’impression d’entrer là et d’être d’ores et déjà dans le spectacle.
Zingaro signifie “tsigane”, en évocation au voyage et aux cultures du monde. Pour aller à la rencontre du public, Bartabas adapte dans son chapiteau les spectacles conçus dans le théâtre à Aubervilliers.